Aline, qui n’a commencé le boutis qu’en 2020, nous gratifie de triplés. Il faut dire qu’elle les a réalisé l’un à la suite de l’autre, ou plutôt l’un chevauchant l’autre parce qu’elle a toujours peur de manquer d’ouvrage. Alors, elle prévoit, réfléchit, anticipe.
Ci-dessous, pour le plaisir le centre de son Boutis 1er numéro 3.
Pour bien comprendre le cheminement d’Aline, il faut savoir qu’elle vient du point de croix et que, en voyant travailler les boutisseuses autour d’elle, elle jurait bien qu’elle ne ferait jamais de boutis. Et puis voilà, elle est tombée dans la marmite et on ne l’arrête plus…
Boutis 1er, le vrai !
Des arlésiennes dont l’exécution, pour un galop d’essai, ne manque pas d’ambition. Comme le reconnaît elle-même Aline, la mise sous verre ne sied pas toujours au boutis, surtout lorsque le motif demande une mise en relief relativement importante. En plus, du petit point et de la mise en relief, elle aura appris cela aussi et nous aussi. Une preuve de plus qu’on apprend de ses erreurs ! Et Aline apprend vite !
Ci-dessus, son Boutis 1er numéro 2. Un très traditionnel petasson qui est, reste et demeurera la meilleure façon de faire son apprentissage. Ni trop grand, ni trop petit, il permet de s’essayer tant aux courbes qu’aux lignes droites et à la mise en relief avec ou sans lasso. Il faut dire que les tuyaux sont une école de patience et de régularité sans pareil.
Et enfin, son Boutis 1er numéro 3, déjà suivi par un ouvrage en cours et un autre “en commande”. On le l’arrête plus…
Elle a choisi, pour ce coussin, un modèle très épuré, très élégant dont la réalisation s’est très sensiblement améliorée.
Que seront donc les deux prochains boutis qui, s’ils ne méritent plus le nom de Boutis 1er, nous intéresserons néanmoins.
Merci et à bientôt Aline.
Ma foi pour quelqu un qui ne devait jamais boutisser si elle avait aimé ça quel serait le résultat ???👍👍👍👏👏😹😹
Bravo ! Quel magnifique travail👏👏👏👏👏👏♥️♥️
Où va t’elle s’arrêter? Bravo!!!!
Félicitations!! à ce rythme, elle ira très très loin