Nous ne vous apprendrons rien en vous disant qu’il fait chaud, d’autant qu’aucune région de notre beau pays ne semble épargnée…
Et Myriam pas davantage que les autres.
Elle a dû mettre de côté son grand ouvrage pour se consacrer à une réalisation plus “réalisable” par les températures qui courent !



Un modèle d’Hubert Valeri qu’elle pique avec un coton DMC.
Plus supportable, en effet, que d’avoir une masse, même en coton, sur les genoux.
Probablement aurons-nous bientôt des nouvelles du grand qui patiente en attendant des jours meilleurs, c’est-à-dire plus frais.
Bonne idée, Myriam, pour ne pas perdre la main !
