Bien qu’elle ne dispose pas, actuellement, de ses deux pieds, Myriam semble disposer de bien plus de deux mains.
Voyez plutôt ce qu’elle a fait de son été.
Un joli modèle au séchage, qui a dû lui demander pas mal de travail et, visiblement, blanc sur blanc. Le charme du classique.
Elle a, également, poursuivi son modèle Sur un air de Hongrie. A revoir quand il sera terminé pour en apprécier le mélange des couleurs et des matières.
Parallèlement, son vermiculé avance plus lentement mais on ne peut pas être partout ! Là aussi, nous l’apprécierons mieux complètement réalisé.
Et pour parachever le tout, elle a terminé Les glycines perlées…
Nous ne pouvons que la féliciter !
J’admire. Je n’en ai pas fait autant. Bravo !!!
Oui vraiment bravo et félicitations c’est magnifique
Magnifique! Petite question! Il me semble qu elle fasse bq de points arrière alors que je pensais qu il fallait faire des petits points avant? Étant néophyte je vous remercie de votre reponse
Bonjour, merci de cette intéressante question. L’origine du boutis était au point de piqûre (qui n’est pas un point arrière, je vous laisse vous renseigner sur la différence) et était pratiqué par les hommes dans les ateliers royaux. Les femmes se chargeant de la mise en relief. Lorsque ces ateliers ont dû fermer, les femmes se sont approprié la technique et ont travaillé au point avant, afin d’économiser du temps et du fil. Voilà, très superficiellement, l’histoire. Donc, en pratiquant au point de piqûre, vous êtes au plus prés de la tradition !
Bons et beaux ouvrages dont je vous invite à nous envoyer des photos que nous serions ravies de publier sur notre site. Les débuts dans le boutis, par les erreurs qu’ils comportent quelquefois, sont toujours porteurs d’enseignement.
Quel talent ! Travail magnifique
Bravo Myriam ! on se régale à admirer ses ouvrages, mais j’espère quand même que son pied va mieux. Je trouve que çà dure dans le temps ses ennuis…
Bravo et bon rétablissement
Magnifique travail beaucoup de courage et du travail bravo il faut continuer.